UNE LOI PROTECTRICE DES VICTIMES
La loi du 5 juillet 1985 dite « loi Badinter » a considérablement amélioré le régime d’indemnisation des victimes d’accident de la circulation en distinguant :
La loi Badinter permet également d’accélérer les procédures d’indemnisation en obligeant l’assureur de tout véhicule impliqué dans l’accident à proposer une expertise médicale et à formuler une offre d’indemnisation à la victime :
C’est le délai d’offre le plus favorable à la victime qui s’applique.
Si de nombreuses mesures favorables aux victimes existent, leur mise en œuvre peut s’avérer complexe et nécessite le recours à un avocat pour défendre vos intérêts tout au long de la procédure d’indemnisation et notamment pour :
Ce travail implique une parfaite connaissance de l’ensemble des postes de préjudices indemnisables (nomenclature Dintilhac), de préjudices spécifiques complexes à évaluer (Pertes de gains professionnels futurs, aide humaine active et passive…) et des modalités d’indemnisation (rente ou capital, utilisation des tables de capitalisation, recours des tiers payeurs…)
Une victime, même accompagnée de son assureur, ne peut se contenter d’une offre d’indemnisation d’une compagnie d’assurances sans avoir la garantie que celle-ci est juste et suffisante pour répondre à ses futurs besoins.
Les statistiques actuelles établissent que les indemnités obtenues directement par les victimes, même assistées par leur propre assureur, sont en moyenne inférieures à 30% de ce qu'elles auraient pu obtenir avec un avocat.
Le travail et la compétence de votre avocat sur chacune de ces étapes vous permettra d’obtenir une indemnisation juste et intégrale de votre préjudice.
Que vous soyez au début de la procédure ou déjà au stade de l’indemnisation, il n’est jamais trop tard pour solliciter le conseil de votre avocat.
Pour plus de renseignements
Tél : 06 64 56 73 06